En grimpe d’arbres, on évolue exclusivement sur des cordes permettant de progresser de branche en branche et parfois d’arbre en arbre.
Pouvoir se mouvoir efficacement et voguer à son aise nécessite donc d’apprendre les techniques nécessaires : n½ud (d’encordement, de fractionnement ou autobloquant), manipulations basiques (rappels et remontées sur corde) ou complexes (tyroliennes, bout de branche, jeté de corde, etc.).
Mais la connaissance de la grimpe d’arbres ne se limite pas à cela. Car grimper sur du vivant, cela implique d’en connaître certains secrets. Il existe autant d’essences que de milieux naturels. Rien que sur notre territoire cévenol et montpelliérain, on s’adonne à l’activité sur des chênes blanc, des platanes, des pins, et même des hêtres et des cèdres. Chacun fera l’objet d’un diagnostic spécifique, visant à déterminer les ancrages idéaux pour porter une atteinte minimale à l’arbre en le visitant.
Parmi les apprentissages techniques à aborder, on peut citer le jeté de “petit sac”, consistant à lancer un sachet rempli de billes de plomb relié à une ficelle afin de mettre en place la corde autour d’une branche ; la remontée sur corde à l’aide d’un foot lock par exemple, ou l’installation d’un hamac près de la cime, dans lequel on s’installera pour une courte méditation arboricole…
Si vous avez chez vous des arbres dans lesquels vous voulez grimper, c’est probablement possible, questionnez-nous !
Avis aux grimpeurs de rocher : ne soyez pas dédaigneux, laissez-vous tenter par la découverte d’une escalade qui vous surprendra par sa technicité. Se retrouver en haut d’un platane de 45 mètres n’est pas loin d’équivaloir la réalisation d’une grande voie de 10 longueurs. On en reparle là-haut !
L'Éducateur de Grimpe d'Arbres vous fournira :